Une nouvelle étude de Harvard a porté sur les sept opérations chirurgicales qui provoquent le plus de complications et de décès.
L’étude a concerné 421 476 opérations réalisées en urgence, sur des patients allant de 18 à 105 ans. À elles seules, ces opérations provoquent 80 % des décès, des complications et des coûts chirurgicaux.
Je vous les indique dans l’ordre. Entre parenthèses, vous trouvez respectivement le taux de complication et le taux de décès suite à l’opération :
Appendicite (7 % – 0,1 %)
Ablation partielle de l’intestin grêle (47 % – 6 %)
Laparotomie (introduction d’une caméra dans l’abdomen pour diagnostiquer ou traiter) (40 % – 24 %)
Les complications provoquées par ces opérations incluent en pratique tous les problèmes médicaux que vous n’avez pas envie d’avoir : atteinte aiguë des reins, de l’appareil respiratoire, arrêt cardiaque, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire (caillot de sang dans les poumons), infarctus, infection, choc septique et autre catastrophe.
Ce que vous pouvez faire
On a longtemps cru que l’appendicite non opérée évoluait automatiquement vers la gangrène et la perforation – l’opération était donc obligatoire.
Une revue d’étude publiée en 2008 a remis cette idée en cause. Certaines appendicites évoluent spontanément vers la guérison, de nombreuses autres peuvent être traitées avec de simples antibiotiques [2].
Une revue scientifique américaine de chirurgie a publié une étude sur la nécessité ou non d'opérer systématiquement les enfants souffrant d'une appendicite aiguë.
Une nouvelle étude sur le sujet par des spécialistes de l'Ohio (USA) vient d’être publiée [3]. Elle a porté sur 77 jeunes de 7 à 17 ans qui se plaignaient de douleurs abdominales depuis moins de quarante-huit heures et qui ne présentaient pas d'abcès, de phlegmon (inflammation du tissu en général d'origine infectieuse), de péritonite ni d'autres complications.
Leurs parents ont eu le choix entre une intervention chirurgicale et un traitement par antibiotiques. Trente parents ont choisi d'éviter l'opération (contre quarante-sept qui l'ont préférée).
Parmi les enfants qui n’ont pas subi l’opération, 93 % ont connu une amélioration immédiate de leur état dans les 24 heures. Seuls trois enfants ont dû être opérés malgré tout ! 90 % des opérations ont pu être évitées, et étaient donc inutiles !!
Bien entendu, les jeunes qui ont échappé au bloc-opératoire ont repris plus vite leurs activités scolaires et sportives. (la suite ci-dessous)
Annonce spéciale
Avez-vous poussé sur le bouton « autodestruction » de vos yeux ?
Si vous souffrez de fatigue oculaire, de tension, de mal au cou et aux épaules,
si vous êtes myope, hypermétrope ou presbyte,
si on vous a dit que vous êtes astigmate,
si vous venez de vous rendre compte que vous ne voyez plus aussi bien qu’avant, et que vous craignez que ça empire,
si vous envisagez une opération au laser, et que cela vous inquiète,
si vous avez déjà été opéré et que votre médecin envisage déjà une nouvelle opération,
si vous en avez assez de dépenser tellement pour des lunettes,
si vous désirez voir clair de nouveau et lire sans lunettes…
Pour les auteurs de ce travail, cités par le Journal international de médecine, « il est donc possible de ne pas opérer systématiquement les appendicites non compliquées, avec un taux de 90 % de succès à 30 jours, une amélioration de la durée de convalescence et une meilleure qualité de vie [4]. »
En France, la leçon est en train d’être apprise lentement… mais sûrement.
Le nombre d’opérations de l’appendicite a diminué et baissé de moitié en l'espace d'une vingtaine d'années, passant de 162 500 en 1997 à 83 400 en 2012 [5].
Une bonne raison de garder votre appendice
Pendant des dizaines d’années, la majorité des chirurgiens ont raconté que l’appendice « ne sert à rien ». On pouvait donc l’enlever et le jeter à la poubelle sans s’inquiéter.
Les chercheurs en médecine, eux, considéraient aussi que l’affaire était « pliée », et jugeaient inutile d’étudier l’appendice.
Il est pourtant très probable que l’appendice joue un rôle important.
En cas d’infection intestinale et de diarrhée, il se pourrait que ce petit morceau d’intestin serve de réserve à la flore intestinale. Elle conserverait les bonnes souches de bactéries, qui pourraient repartir ensemencer l’intestin une fois la crise passée.
Et peut-être que comme la glande appelée thymus, dans la poitrine, l’appendice joue un rôle plus important pendant l’enfance pour le développement du système immunitaire.
Réduire votre risque d’opération
Concernant les autres opérations, le meilleur moyen de les éviter est d’adopter un mode de vie sain.
Voici six conseils simples qui diminueront votre risque de vous retrouver sur une table d’opération :
Faites tout votre possible pour faire au moins un peu d’exercice physique, à l’extérieur, plusieurs fois par semaine.
Soignez votre alimentation en mangeant des légumes, du poisson, de bonnes huiles crues, des fruits bio de saison, des noix, des œufs de qualité, des légumineuses (lentilles, haricots, pois…).
Réduisez votre consommation de sucre et de produits industriels. Fuyez les 4 P : pains, pâtes, pâtisseries, pizza. Mais fuyez encore plus les chips, biscuits d’apéritif, bonbons, biscuits, sodas et glaces.
Buvez un bon verre de vin chaque jour, sans plus.
Vérifiez régulièrement votre tension artérielle ; surveillez surtout son évolution (il ne faut pas qu’elle monte). Réduisez pour cela votre consommation de sel de table (chlorure de sodium) et augmentez celle de potassium (fruits et légumes).
Prenez chaque jour un bon complément de vitamine D (au moins 4000 UI) et un bon complexe de vitamines B.
Vous connaissez déjà tout ça. Ce n’est pas compliqué, mais il faut s’y tenir !
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Attention danger : Vous avez au moins 3 chances sur 5 de mourir d’une « maladie du mode de vie » liée à l’alimentation, au manque d’activité ou au tabagisme. C’est le constat alarmant d’une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Mais vous avez aussi 80 % de chances d’éviter ces maladies voire de les guérir en adoptant certains réflexes simples et peut-être inconnus de votre médecin. Découvrez-les sans attendre dans cette vidéo.
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Papillomavirus : un champignon guérit les femmes au bout de 6 mois !
Chère lectrice, cher lecteur, Les chercheurs viennent de faire une découverte retentissante sur un champignon, le lentin du chêne – également appelé shiitake -, testé sur des femmes contaminées par des Papillomavirus. Accrochez-vous bien à votre chaise, voici les résultats : Au bout de trois mois, 50 % des femmes contaminées ont guéri ; Au bout de six mois, toutes les femmes contaminées étaient guéries ! Toutes les femmes ont guéri, vous avez bien lu. Et grâce au shiitake, la disparition du virus implique non seulement la diminution du risque de cancer du col de l’utérus, mais aussi la disparition des verrues génitales, que déclenchent souvent les Papillomavirus. Ces informations sont à découvrir dans le numéro de mars d’Alternatif Bien-Être que nous mettons sous presse lundi 9 février à la première heure. Lisez-les et partagez-les
Chère lectrice, cher lecteur, Compenser ses excès alimentaires en faisant du sport, c'est impossible. Notre corps est une machine ultra efficace, ne consommant qu'une énergie dérisoire pour bouger et faire des efforts physiques. Les voitures hybrides, les Prius, et même les Tesla, à côté, c'est de la gnognotte [1]. Avez-vous déjà pratiqué l'aviron, cher lecteur ? Accroupi dans un bateau minuscule, vous devez pousser avec vos jambes puis tirer avec vos bras comme un fou pour ramener vers vous une (ou deux) énormes rames, tel un condamné aux galères. C'est un noble sport, la sensation de glisse peut être jubilatoire, mais c'est épuisant. À la fin d'une course qui ne dure que quelques minutes, il n'est pas rare de voir les rameurs vomir toutes leurs entrailles (cela m'est arrivé personnellement !). Leurs muscles sont vidés, leurs membres tremblants, leur souffle court, leurs mains sanglantes, la sueur dégoulinante. Et pourtant, savez-vous combien de calories il est possible de brûler en une heure entière d'aviron intensif, une prouesse sportive dont peu sont capables ? Selon votre poids (plus on est lourd, plus on consomme de calories), de 550 à 650 calories seulement, l'équivalent d'un simple… cheeseburger. Mais il y a pire (bien pire) !
Chère lectrice, cher lecteur, Rien ne marche mieux en santé naturelle que de présenter comme merveilleux/miraculeux/fantastique un produit banal, et de raconter qu'il soigne tout, des cors aux pieds à la mauvaise haleine en passant par le cancer, le surpoids et les performances sexuelles (très importants, ces deux derniers points). Évidemment, cela ne va jamais sans une « subtile » offre d'achat pour des gélules, un livre électronique, une fiole, ou une poudre de perlimpinpin quelconque à prix exorbitant sur un site Internet hébergé on ne sait où. Les « classiques » du genre incluent le bicarbonate de soude, le « pain et l'eau = recette miracle », la gelée royale, la propolis, l'élixir du Suédois, le chlorure de magnésium et, au sommet du podium, le vinaigre de cidre. La vérité est d'autant plus difficile à rétablir que, de fait, certains de ces produits ont réellement des effets sur la santé, parfois spectaculaires. J'ai d'ailleurs régulièrement parlé de plusieurs d'entre eux dans Santé Nature Innovation. Aujourd'hui, je fais toute la lumière sur le vinaigre de cidre, ce que vous pouvez en attendre, et les dangers à éviter. Car de nombreux sites et livres diffusent des informations fantaisistes à ce sujet.
Un médecin dans les montagnes américaines
Les ouvrages les plus populaires sur le vinaigre de cidre s'appuient sur le best-seller d'un médecin américain, le Dr DeForest Clinton Jarvis. Le Dr Jarvis, mort en 1966, était médecin de campagne dans le Vermont, région montagneuse reculée du nord-est des Etats-Unis.
C'est pourquoi mieux vaut toujours faire ce qui est possible et raisonnable pour comprendre vos problèmes de santé, et décider vous-même avant d'accepter un traitement ou prendre un médicament. Car si c'est un erreur, s'il y a un accident, vous aurez beau faire des procès, vous resterez le premier à souffrir des conséquences. C'est à cela que servent toutes nos publications (voir les publicités ci-dessous). Il y en a bien d'autres qui existent sur Internet et dans les librairies. Servez-vous en !
Votre trousse de secours naturelle pour les vacances
Un jeûne d'une semaine, ou, pire, que vous buvez votre pipi. !
Tout ce que dit Brian Clément est parfaitement exact et prouvé scientifiquement. On lui reproche surtout de donner un espoir à des gens prêts à tout tenter pour se débarrasser d'une vilaine maladie qui menace leur vie. Mais il me semble que l'on devrait plutôt adresser des reproches à ceux qui n'ont pas été capables de leur donner le même espoir de guérison malgré leurs diplômes, leurs appareillages et, surtout, malgré leurs immenses ressources financières.
Si vous osez un jour dire à votre famille que vous voulez vous offrir un stage au centre
Cher lecteur > > Je me souviens de ma stupeur — et de mon ironie — quand j'ai découvert, il y a huit ans, l'existence de la « Life Extension Foundation », cette fondation américaine consacrée à la recherche sur le rallongement de la vie (comme son nom l'indique). > > Il s'agit de chercheurs « longévitistes », ou « extensionnistes », qui pensent que des découvertes sur le rajeunissement des tissus grâce aux cellules souches, à la réparation moléculaire, et au remplacement d'organes (par transplantation ou par organes artificiels) permettront un jour aux êtres humains de vivre indéfiniment et en bonne santé, grâce à un rajeunissement complet et continu de leur corps. > > Pour moi, c'était clair : il s'agissait de petits malins exploitant la crédulité d'Américains limite sectaires, ou alors d'un milliardaire un peu fou finançant des expériences sur la congélation de vieillards, etc. > > Il m'a donc fallu beaucoup de temps, et de lectures, pour changer d'avis. Aujourd'hui, je dois bien reconnaître que des découvertes TRES intrigantes sont faites dans le domaine du « rajeunissement », qui peuvent intéresser tout le monde, y compris les personnes qui n'ont pas l'intention de rester éternellement parmi nous... > > Je vais vous parler dans un instant d'une des techniques les plus prometteuses, et au fond simples, de rajeunissement des cellules de votre corps. Il s'agit de la réactivation de la télomérase. > > Mais avant ça, un mot sur la « médecine anti-âge » aux Etats-Unis. > > Peu d'Européens, et encore moins de Français, se doutent de la guerre généralisée, industrialisée, que les Américains, ou du moins les couches moyennes et supérieures de la population, livrent actuellement contre le vieillissement. > >
Des entraînements dignes d'athlètes de haut niveau
Des salles de fitness, généralement bondées, sont installées dans tous les quartiers. Le moindre hôtel en possède une, équipée de dizaines d'appareils, ouverte 24h/24h, et — oui, je suis désolé mais c'est vrai — utilisée en quasi-permanence par les cadres, mères de familles ou grands-parents de passage. > > Dans tous les magasins et distributeurs de nourriture, on trouve des aliments « low-carb » (pauvres en glucides) avidement consommés par la population. Au restaurant, vous ne vous étonnez pas de voir vos voisins de table sortir, au début du repas, des sacs de pilules. Ce ne sont pas des médicaments, mais des suppléments nutritionnels en minéraux, vitamines, acides gras essentiels et oligo-éléments, qu'ils utilisent de façon ciblée pour maintenir leurs organes en bonne santé. > > Et il faut bien reconnaître que les effets sont là.
Comment vous sentiriez-vous si on vous retirait un organe, et que vous appreniez ensuite que ce n'était pas nécessaire ? Vous auriez pu traiter le problème avec un remède naturel... mais personne ne vous l'avait dit.
C'est ce qui arrive chaque année à des milliers de personnes faussement diagnostiquées d'un cancer du sein ou de la prostate. De même, les maladies résistant aux antibiotiques font de plus en plus de victimes alors qu'elles peuvent souvent être guéries par des traitements alternatifs comme l'argent colloïdal ou certaines huiles essentielles.
C'est pour vous éviter ce type de tragédies que nous publions le mensuel Alternatif Bien-Être.
Main dans la main avec l'industrie pharmaceutique, la médecine officielle impose des protocoles de plus en plus lourds et dangereux. Par contre, elle n'hésite pas à vous cacher – vous interdire ! – des solutions naturelles, simplement parce qu'elles n'entrent pas dans ses schémas de pensée :
Des chercheurs viennent de découvrir que la kératine soluble reconstruit les cartilages. On sait depuis des siècles que la racine de bardane soigne l'acné. Les nouvelles recherches sur la vitamine D concluent qu'elle est efficace contre la sclérose en plaques.
Ces produits naturels sont sans danger. Mais aujourd'hui, ces mêmes maladies sont traitées avec :